Améliorer son sommeil est une denrée précieuse. Il ne faut en aucun cas sous-estimer le pouvoir d’une nuit réparatrice. C’est pourquoi les insomnies s’avèrent la source de nombreuses difficultés et frustrations. On n’en connaît pas toujours l’origine. Et quand les nuits blanches s’accumulent, les conséquences sur notre état mental et physique se manifestement inévitablement…

Heureusement, il existe des méthodes pour retrouver un cycle de sommeil complet et réparateur. Des méthodes qui n’impliquent aucune substance chimique ou addictive. Qui peuvent vous permettre de retrouver les bras de Morphée sans faire appel aux somnifères.

À travers cet article, nous aimerions mettre en lumière les perspectives offertes par la MTC, ou médecine traditionnelle chinoise. Les pratiques orientales constituent une alternative riche et saine aux réflexes industriels. Les résultats s’observent, se confirment d’ailleurs depuis des siècles… pour ne pas dire des millénaires.

Mais ne laissons pas mijoter le suspens plus longtemps. Voici quelques pistes pour vivre des nuits sereines, porteuses de repos.

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Le sommeil : une question d’énergie, dans le sens vibratoire du terme

On a tous déjà entendus que manger ou dormir permettait de « reprendre de l’énergie ». Mais ce n’est pas dans ce sens-là que nous utilisons le mot ici.

C’est à un niveau plus spirituel, et donc plus subtil, que la médecine traditionnelle chinoise se situe pour améliorer son sommeil.

Et même si la médecine conventionnelle domine en France par exemple, la notion du Yin et du Yang s’est ancrée dans l’inconscient collectif. C’est celle qui renvoie à l’équilibre des forces. Celle qui permet à l’univers, au monde et à ce qui le peuple d’atteindre une harmonie globale.

Il ne s’agit pas d’une opposition bien/mal, comme un non-initié pourrait le penser. C’est plutôt l’agitation et le calme qui sont symbolisés au sein du fameux schéma en noir et blanc (le Taijitu, pour la petite anecdote culturelle 😉). Et l’on peut synthétiser les idées sous-jacentes de la manière suivante :

• Sans agitation, par définition, rien ne bouge. Le stoïcisme empêche les interactions, les connexions, les évolutions. Le Yang noir est précisément la figuration de l’action, du faire, de l’agissement.
• Sans apaisement, l’esprit, les éléments, les forces en mouvement ne peuvent jamais se recentrer, se revitaliser. Le Yin blanc se veut la représentation d’un ralentissement, d’une sérénité retrouvée.

Et comme vous le savez sans doute, le Yin et le Yang sont absolument complémentaires. Il suffit d’observer le fameux symbole pour le réaliser. Chaque partie est composée d’un petit cercle, dont la nuance correspond à celle de l’autre.

Il n’y a donc pas d’alternance, mais une cohabitation permanente. C’est même celle qui, selon la tradition, permet tout simplement au monde d’exister. Pour parler en des termes simples, trouver l’équilibre consiste à souffler le chaud et le froid. Le frénétique et le minutieux.

Malheureusement, nous ne parvenons pas toujours à cette stabilité. Et c’est précisément là que surviennent les insomnies.

La MTC : des trésors de possibilités pour retrouver un sommeil réparateur

Évidemment, nous ne venons de citer qu’un aspect parmi tant d’autres de la médecine traditionnelle chinoise et de son potentiel infini.

Mais nous n’avons pas choisi le Yin et le Yang par hasard. Il permet de comprendre la quintessence de toute approche énergétique.

Lorsque vous ne parvenez pas à « trouver le sommeil », pour reprendre l’expression populaire, la cause est forcément à chercher dans un déséquilibre. Vos troubles émotionnels entraînent des perturbations, qui compromettent la bonne circulation des énergies… et donc la communication.

Une communication qui se situe à plusieurs niveaux :

• Les organes. Oui, les différentes parties de votre corps émettent et reçoivent des « messages » énergétiques. C’est pourquoi la MTC accorde une place importante à l’alimentation. Bien se nourrir, c’est assurer un bon jeu de résonance intérieure. Quand on ne manque de rien, nécessairement, on retrouve plus vite le chemin des rêves !
• L’esprit, dans le sens large du terme. Nos pensées, nos mantras sont tour à tour la cause et la conséquence de déséquilibre énergétique. La méditation conduit, entre autres à rétablir des connexions rompues, à débloquer les flux. À retrouver une sérénité… celle qui favorise le sommeil !
• L’interaction avec autrui : ce que nous vivons par et avec l’autre influence notre bien-être. Avoir « capté » de mauvaises ondes durant la journée peut compromettre un endormissement rapide et/ou sain. Il ne faut pas sous-estimer l’importance d’être en harmonie avec l’univers… dès lors, avec tout ce qui le compose !

Vous avez sans doute mieux compris le caractère essentiel que revêt la stabilité quand on veut suffisamment et améliorer son sommeil profond.

Il n’est, cela dit, pas facile de trouver et d’appliquer les bonnes méthodes. Alors, par où commencer pour améliorer son sommeil ?

Découvrez dès maintenant les vertus de la MTC pour (beaucoup) mieux dormir !

Danielle Manavit est ce que l’on appelle une coach mieux être. Elle accompagne depuis de nombreuses années celles/ceux qui souhaitent améliorer leur quotidien ; retrouver, justement, un équilibre totalement ou partiellement rompu.

Particulièrement attachée aux enseignements et aux approches holistiques de la médecine traditionnelle chinoise, elle organise des ateliers afin de transmettre ses connaissances, ses découvertes, ses émerveillements parfois, au moment de se reconnecter à soi et au monde dans son ensemble.

Avec humilité et pédagogie, elle guide les apprenants dans la découverte de « lois » fondamentales : le Yin Yang, donc, mais aussi le Qi Gong ou le Do In. Tout cela vous semble encore bien flou ? Croyez-nous : les ateliers de Madame Manavit vous aideront rapidement à y voir plus clair ! D’autant que les explications se veulent diversifiées, en faisant référence à de nombreux « rouages » de la médecine et philosophie chinoises.

Vous pouvez cliquer ici dès maintenant pour accéder à une vidéo gratuite et parcourir le catalogue des ateliers menés par cette spécialiste.

Nous ne vous promettons pas de vous endormir comme une masse dès le premier jour suivant vos découvertes. En revanche, il est sûr qu’ouvrir son esprit à des méthodes alternatives sérieuses aide à se sentir de mieux en mieux. Le parcours sera plus ou moins long en fonction de votre personnalité, de votre parcours…

… mais si vous laissez « le temps au temps », et que vous élargissez vos perspectives, les probabilités de vous réconcilier avec Morphée vont vraiment se décupler 😊. Nous vous souhaitons de retrouver un sommeil complet et subtil, car vous le méritez !

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À notre époque, la tendance à se dévaloriser est malheureusement très répandue – presque normalisée. Dès que quelque chose bloque, ou « coince » pour utiliser un terme plus populaire, il est facile de se sentir incapable, inadapté…

… et c’est un sentiment qu’il faut vraiment apprendre à chasser. D’abord parce que nul n’est parfait ; l’échec d’aujourd’hui ne suppose pas forcément celui de demain. Ensuite parce que certaines limitations trouvent leur source à un tout autre niveau. À une tout autre… époque, même.

Oui, nous sommes les héritiers de ce que l’on appelle les mémoires limitantes. Cela ne nous décharge pas de toute responsabilités, certes. Il n’est pas question d’en faire un prétexte. Toutefois, avant de s’auto-flageller, il s’avère plus raisonnable de se comprendre, de s’apprendre, dans cette vie… comme dans les précédentes.

Entreprendre un travail sur ses mémoires limitantes nous porte d’ailleurs bien au-delà de l’information : c’est un levier de construction et de reconstruction. Cela contribue fortement à s’épanouir sur le plan personnel et professionnel.

Voici quelques précieux éléments à ce propos… et, comme toujours, des pistes pour aller plus loin.

 

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Les mémoires limitantes : c’est quoi, exactement ?

Quitte à tomber dans l’évidence, répétons-le : nous suivons tous un chemin de vie. Il est fait de rencontres, il se retrouve jonché d’espoirs, de plaisirs, d’accomplissements, d’actes manqués, d’amour aussi.

Ce chemin, nous ne le parcourons pas de manière automatique et mécanique. Nos accélérations, nos ralentissements, parfois l’emprunt de voies alternatives dépendent de nos croyances, de nos programmations. Et leur impact sur nos décisions, sur nos choix peut être absolument puissant.

Les mémoires limitantes, justement, sont ces « mantras », ces principes que nous avons ancrés en nous, en notre esprit, en notre corps aussi, et qui fonctionnent comme autant d’évidences. Dans certains cas, cela peut s’avérer porteur ; dans d’autres, c’est un frein à l’épanouissement et à la réussite.

Mais d’où viennent-elles ? On peut déjà citer deux sources possibles :

• Notre passé, depuis la naissance. Au fil des événements qui ont marqué notre existence, nous avons vu, lu, senti, entendu… développant ainsi des mémoires.Attention, il ne faut pas confondre ce concept avec celui de souvenir. Les mémoires n’ont pas la même consistance. Il ne s’agit pas de revivre un moment précis par la pensée ; ce sont davantage des « traces », des reliquats… tenaces. Des schémas, qui peuvent effectivement avoir été initiés à une occasion précise, mais qui depuis se répètent subtilement, voire sournoisement.

  Dans les relations humaines entre autres, ces schémas ont un impact potentiellement destructeur. Une expérience douloureuse dont on n’aurait pas déprogrammé la mémoire mène, typiquement, à s’en prendre aux autres par frustration, par méconnaissance. Une personne qui s’est sentie abandonnée dans son enfance va se montrer excessivement hostile, exigeante, étant inconsciemment influencée par ces schémas ancrés.

• Les mémoires collectives et karmiques jouent aussi un rôle non-négligeable. Lors de notre incarnation, nous devons transporter les « bagages » émotionnels de nos ancêtres. On retrouve là certaines idées véhiculées psychanalyses, mais sous un angle bien plus spirituel. Tout ne se situe pas au niveau du cerveau : notre corps et notre esprit sont entièrement le siège d’émotions positives ou négatives.La pollution provoquée par nos mémoires collectives vont précisément guider nos actes, pour le meilleur et pour le pire. Il est temps de nettoyer ces résidus limitants, de réparer les failles du moteur.

L’écologie intérieure : retrouvez un équilibre personnel optimal

Depuis quelques années, l’environnement préoccupe à de nombreuses échelles. Le fameux dérèglement climatique ainsi que l’épuisement des ressources présentent, fondamentalement, un problème d’équilibre : il fait trop chaud ou trop froid, les ressources manquent dans une zone mais sont gâchées dans l’autre…

… et le même genre de phénomènes, moyennant bien sûr quelques adaptations, s’observe au sein de nos êtres. Pour des raisons karmiques ou au long du vécu, nous avons perdu une partie du contrôle que nous devons exercer sur nous-même.

La pollution engendrée par les mémoires limitantes devient métaphoriquement toxique : elle empoisonne notre vie en cela qu’elle nous affaiblit, qu’elle nous empêche d’avancer, de tenter, de vraiment apprécier l’existence.

Comment travailler efficacement sur les mémoires limitantes ?

Thierry Lancereau propose justement une série d’ateliers sur le sujet des mémoires limitantes.

Il s’agit bien sûr d’en prendre conscience (une étape incontournable), puis de les déprogrammer. Cela ne se fait pas en quelques secondes, mais la poursuite de ces objectifs peut vraiment marquer un tournant dans notre vie.

Il faut savoir que nos blocages existent à différents niveaux de l’être. Les distinguer fait partie des premières démarches à entreprendre. Et il y en a bien d’autres… que nous vous invitons à découvrir. Elles ont toutes un lien avec l’idée de canalisation : on retrouve, comme bien souvent quand la spiritualité est en jeu, l’idée de faire circuler les énergies, de rétablir une harmonie entre le physique et le psychique.

Un atelier de progression collective pour un travail efficace sur les mémoires limitantes

Thierry Lancereau a justement mis au point de nombreuses techniques pour mettre ces mémoires à jour et « dépolluer » notre intérieur.

Mais il ne s’agit pas d’appliquer des protocoles rigides. Les ateliers de ce praticien-formateur, connu notamment pour sa méthode ThetaHealing, laissent une place à la créativité de chacun(e). Pour faire vos premiers pas, nous vous proposons de découvrir ses formations de groupe, qui donnent un accès particulièrement humain à la déprogrammation des mémoires limitantes.

De nombreux témoignages rapportent l’efficacité et la sincérité de ces séminaires. Ils remettent notre potentiel de guérison intérieure au centre des préoccupations – là où le fatalisme et le découragement prennent trop souvent le dessus dans notre approche moderne du monde.

Afin d’en savoir davantage, il vous suffit de cliquer ici. Celles et ceux qui hésitent encore seront rassuré(e)s d’apprendre qu’il n’y a rien d’absurde dans cette manière de vivre et de se vivre. Au contraire, Monsieur Lancereau propose de se reconnecter naturellement au soi, et d’en tirer le meilleur pour atteindre ses objectifs d’abondance ; ses aspirations naturelles à la joie.

 

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L’autohypnose est une pratique fascinante, qui demande un véritable entraînement. Elle nécessite de « dompter » son esprit. D’embrasser le lâcher-prise. Mais pour reprendre l’expression populaire : le jeu en vaut la chandelle. Petit à petit, c’est notre potentiel cérébral qui se révèle. Les états modifiés de conscience nous donnent accès à la magie de notre esprit.

Attention au terme « magie », toutefois – on l’utilise ici de manière métaphorique. Il n’y a pas d’incantation à murmurer. Pas de sortilège à déployer. Notre pouvoir de faire, d’agir, de créer, d’accomplir vient de nous.

Grâce à l’autohypnose, il devient possible de réveiller ses capacités multiples. D’exploiter pleinement ses aptitudes innées.

Pour que vous approchiez avec sérénité ces phénomènes, empruntant autant à la spiritualité qu’à la neuroscience, nous vous avons concocté ce petit guide.

Restez jusqu’ à la fin : nous allons également vous recommander un spécialiste de l’autohypnose. Un vrai. Ses formations fournissent des outils solides pour réussi l’autohypnose, entre en État Alpha… et accomplir son ancrage.

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Accéder à l’État Alpha grâce à l’autohypnose… oui, mais qu’est-ce que c’est ?

L’état alpha est un état de conscience caractérisé la production d’ondes cérébrales dont la fréquence oscille entre 8 et 12 Hz. On l’associe souvent à la relaxation. Au lâcher-prise. Il induit un accès favorable à la concentration et à la créativité.

Les ondes alpha sont générées par le cerveau lorsque nous sommes éveillés mais particulièrement détendus. La méditation est sans doute le levier de transition le plus connu.

De manière générale, cet état alpha est considéré comme bénéfique pour la santé mentale et physique, car il contribue à réduire le stress, prolonge notre capacité à rester focalisé(e) sur une tâche… jusqu’à en attiser l’inspiration !

Tout cela n’a rien d’hypothétique ou d’approximatif. En utilisant un électroencéphalogramme, les experts peuvent absolument mesurer les variations, et en tirer des conclusions (source). Certaines technologiques relatives aux soins médicaux ont connu leur essor par ce biais.

 

Pratique l’autohypnose : à quoi ça sert ?

L’autohypnose est une pratique, visant à « rejoindre » cet état de conscience particulier. Et comme son nom l’indique, elle ne nécessite aucun concours extérieur. Une fois que vous connaissez les méthodes appropriées, vous avez la possibilité, si l’on schématise, de contrôler la fréquence de vos ondes cérébrales. Sous réserve de situations particulières, il va sans dire.

Notons que tout ça n’a pas uniquement vocation à se relaxer l’individu après une longue journée. Grâce à cette nouvelle maîtrise, vous aller exploiter des ressources insoupçonnées jusqu’alors. Dans de nombreux domaines.

À condition d’apaiser et d’ouvrir son esprit avant tout…

Faire le vide dans son esprit : un challenge en l’an 2023

Faire le vide dans son esprit, ce n’est pas le dénuer de sa substance. Nous sommes persuadés que vous pourriez encore vous servir des informations, pensées, projets qu’il contient !

C’est d’abord neutraliser ses pensées. Se « déconnecter » complètement de ses préoccupations quotidiennes.

Lorsqu’on ne connaît aucune technique fiable, la tâche donne du fil à retordre. Depuis plusieurs décennies, l’humain se débat au cœur d’une véritable centrifugeuse. Il y a des montagnes de problèmes à régler. D’ambitions à nourrir. Et tout cela s’amoncèle, ne laissant aucun répit à notre pensée consciente. Jusqu’au moment de rejoindre Morphée, du moins…

Attention : stopper le flux des pensées ne correspond pas strictement à vider son esprit. Car il faut se défaire de ce qui engonce l’inconscient pour atteindre l’État Alpha.

Ce genre de subtilités devraient vous apparaître comme des évidences si vous suivez un atelier pleinement consacré à la question.

Apprendre à s’auto-hypnotiser et à modifier son état de conscience grâce à un pro

Olivier Madelrieux est bien connu dans le domaine du coaching mental. Présent sur tous les fronts, en francophonie du moins, il a déjà contribué au succès de nombreux champions d’élite.

Son approche de notre potentiel cérébral englobe un large éventail d’objectifs.

Il s’agit de réussir ce que l’on entreprend – typiquement comme au moment d’une compétition. Pour autant, il reste essentiel de ne pas sacrifier son bonheur. De garder un équilibre.

Quand on se renseigne sur Monsieur Madelrieux, ce souci d’harmonie se ressent jusqu’à la richesse de son expertise. Nutritionniste, Docteur en pharmacie, ce passionné promeut l’alignement du corps et de l’esprit.

On sépare souvent le scientifique et le spirituel. Ce spécialiste, lui, n’a aucun mal à les concilier ! Et c’est ce qui rend ses ateliers aussi passionnants.

Un ancrage positif pour se réaliser pleinement : l’auto-hypnose comme levier

Un compétiteur, s’il demande des conseils à Olivier Madelrieux, ne sera pas seulement reçu en tant que sportif. Il sera considéré comme un être humain avant tout. Un terrien de passage, dans cette enveloppe charnelle du moins, qui reçoit et véhicule des énergies.

Nous ne pouvons pas aborder toutes les approches spirituelles que ce docteur cultive et affine durant sa carrière. L’alignement des 3 Moi, les 4 sauts quantiques… tout cela demande justement de suivre une formation.

Nous espérons cependant que cette introduction au travail de Monsieur Madelrieux vous aura éclairé quant à la fonction de l’autohypnose. L’activité cérébrale s’inscrit dans l’équation… sans être le seul enjeu. Loin de là.

Outre la chimie de la matière et les vibrations mesurables, il y a cette place à retrouver au sein de l’univers. Une place affirmée, positive, propice à trouver la paix… et idéalement à en faire profiter autrui !

Nous en avons sans doute déjà trop dit ! Car nous n’expliquerons jamais ces principes, ces ouvertures, ces subtilités aussi bien qu’Olivier.

Si vous désirez connaître la suite, rien de plus simple : inscrivez-vous aux atelier en suivant ce lien. Structurés en exercices, ces initiations ne sont pas réservées aux footballeurs ou aux athlètes… tout le monde peut en profiter ! Les astuces prodiguées sont claires, concrètes, et vous pourrez les réinvestir très rapidement à la maison, au travail… tant que vous trouvez un endroit propice à la relaxation.

Sur ce, il est temps d’opter pour une lumière tamisée. À très bientôt !

Formation Vidéo avec Olivier Madelrieux disponible ici

Atteindre la supraconscience suppose d’ouvrir son esprit, pour percevoir l’invisible. Par essence, une telle démarche a de quoi faire peur. Certains préfèrent se rattacher à la matérialité, pourtant trompeuse à bien des égards.

Le problème, c’est que se contenter du palpable, du directement perceptible, c’est d’une certaine manière rester endormi(e).

L’éveil ouvre bien des perspectives. Il conduit progressivement à surmonter ses craintes profondes. Pour enfin faire un trait sur ses croyances limitantes.

Tout cela vous semble trop… ambitieux, peut-être ?

Et si l’on vous disait que vous aviez le pouvoir de franchir le seuil ? D’accéder à cette supraconscience par vos propres moyens ? Oui, entre s’élever et s’éveiller, il n’y a finalement qu’un pas.

Voilà nos conseils pour le franchir dès aujourd’hui.

 

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Oui, il est possible de se transcender…

Donner une définition de l’ego n’est pas chose aisée. On retrouve ce mot aux confins de la psychologie et de la philosophie.

Il y a néanmoins quelques constantes permettant d’appréhender ce concept. Parmi elles, notre rapport aux autres.

Dans les sociétés occidentales, de manière générale, notre psyché se construit en fonction des mœurs, des attentes, des lieux communs. Notre inconscient est sans cesse travaillé par des croyances, pour la plupart bloquantes, qui nous enferment peu ou prou dans un rapport de dépendance. C’est l’alter… qui délimite l’ego.

Tout cela nous berce d’illusions. Ou plutôt nous « enfermer » dans l’illusion. Jusqu’à devenir un frein à notre épanouissement. À notre élévation.

Les plus cyniques voudront s’en remettre à la fatalité. Que peut-on y faire, après tout ? Ne sommes-nous pas le produit d’un désenchantement ancestral ?

Mais dans l’équipe de l’Académie Nouvelle Vie, nous préférons croire en la transcendance.

Nous pensons qu’il est possible de se retrouver. De réconcilier notre être terrestre et notre être « divin » (dans le sens spirituel et non religieux du terme).

Embrasser le potentiel de la supraconscience apparaît comme un levier puissant lorsqu’on veut parvenir à cette réconciliation. Mais cette notion n’est pas forcément claire de prime abord. Il est facile de confondre ce terme avec d’autres références plus répandues. Il est donc temps d’approfondir le sujet.

La supraconscience… c’est quoi ?

Si vous interrogez une personne extrêmement rationnelle – et peu incline à changer d’avis – elle mettra un point d’honneur à tout expliquer par l’activité cérébrale. Il faut dire que la médecine moderne, telle qu’elle est relayée, promue, laisse peu de place aux phénomènes subtils. Tout doit pouvoir s’expliquer en fonction de prédicats théoriques.

Or en réalité, nos synapses, notre hippocampe, nos neurones, tout précieux qu’ils soient au cours de notre existence terrestre, trouvent leur limite en notre matérialité temporaire.

Il est impossible d’expliquer, par exemple, les expériences de mort imminente par des démonstrations scientifiques. Du moins celles qui ont mené les personnes à voir leur corps depuis un point surélevé. Ou, plus impressionnant encore : à « voyager » sur d’autres plans astraux quand leur cerveau était cliniquement mort.

Et pour cause : les phénomènes qui se jouent à ce moment-là dépassent la chimie de l’inconscient, du subconscient ou du conscient…

… puisque, si l’on simplifie, le supraconscient prend le « relai ». Cette notion est cultivée depuis des millénaires par de nombreuses philosophies orientales, africaines, amérindiennes. Il est donc dommage d’en rester au seuil. C’est en le franchissant que l’on peut surpasser les égrégores.

Les égrégores, ce sont précisément ces systèmes de pensée collective, souvent étouffants, particulièrement quand on ne sait comment composer avec leur influence. Lorsqu’on les laisse s’imposer – et c’est le cas pour des milliards d’individus – la subtilité s’évanouit au profit d’une perception très limitée. Celle qu’on peut qualifier de monodimensionnelle ou de monocanale.

Encore une fois, il serait dommage de se résigner. Il y a vraiment des leviers permettant de retrouver ce que nous sommes. Au plus profond. Au plus subtil, donc. Le tout, c’est de savoir quelles pistes exploiter. Voilà une recommandation à ce propos.

L’activation énergétique : une clé pour percevoir

Sidney Tegbo a mis du temps avant de développer ses dons de médium. Mais un deuil survenu en 2015 lui a fait prendre un véritable tournant. Il s’est progressivement entouré de spécialistes, en mesure de l’aider tout au long d’un cheminement existentiel. Le sien, évidemment.

Pour reprendre ses propres termes, il a « établi une connexion à [son] Âme-Groupe », un moi supérieur pluriel, celui de la supraconscience. Celui qui dépasse, comme on le disait plus tôt, les considérations anatomiques relatives aux organes de la vue ou aux perceptions sensorielles basiques.

Cela l’a conduit, irrémédiablement, à revoir sa perception, et donc sa vision du réel. Un virage décisif qui ne lui donne pas, pour autant, l’impression de tout savoir désormais. Au contraire, il ne cesse d’en apprendre davantage sur sa pluralité.

Des ateliers pour apprendre à éveiller sa supraconscience

Monsieur Tegbo transmet également ses prises de conscience, faudrait-il dire de supraconscience, dans le cadre de ses enseignements. Nous vous proposons de découvrir ses ateliers, durant lesquels il livre des méthodes, des approches claires afin que chacun(e) puisse emprunter cette route fascinante.

À ce jour, les retours que nous avons eus sur ses méthodes sont globalement très positifs.

Bien sûr, il faut se préparer à délaisser ses croyances, ou du moins certaines d’entre elles. À renoncer aux idées reçues, à voir le monde autrement. Pour autant, il n’est pas question de délaisser le quotidien. Bien au contraire, accéder à sa supraconscience permet de développer une nouvelle compréhension de ce qui nous entoure. Par là-même de renouveler son interaction avec le vivant.

Vous souhaitez en savoir davantage ? Il suffit de suivre ce lien pour visionner une conférence gratuite. Elle vous permettra de mieux comprendre l’importance que peut revêtir l’invisible selon Sidney Tegbo.

En ce qui concerne les ateliers eux-mêmes, il est possible de s’inscrire via cette page. Ce sera à vous de définir dans quelle mesure cette approche vous correspond. Ce qui est certain, c’est que ce spécialiste en parle avec sincérité et clarté. Alors, êtes-vous prêt(e) à voir le monde autrement ?

 

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À la lecture de ce titre, vous vous dites peut-être qu’il naïf d’espérer un bonheur permanent. Mais il ne faut pas confondre événements et ressentis.

Certes, on ne peut pas espérer que tout se passe bien, tout le temps. En revanche, il est possible de modifier sa manière d’approcher, d’aborder… et donc de vivre son quotidien.

 

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Comme de nombreuses approches que nous vous présentons ici, cela passe par une mise en valeur des énergies. Par l’atteinte d’un équilibre. Lorsqu’on ne fait aucun travail de ce type sur soi-même, l’on peut très vite se laisser déborder par le quotidien. Par les pensées, les sollicitations…

Dès lors, les angoisses, les craintes, les doutes prennent le pas sur les émotions positives. Et il ne s’agit pas qu’une d’un passage éclair. Le fiel, la négativité peuvent s’installer dans ce qu’on appelle parfois les cellules mémoires.

L’idée est évidemment de renverser cette « tendance », en faisait regagner à la positivité toute la place qu’elle mérite.

Pour cela, rien ne vaut une reconnexion à soi. À son être profond.

Le bonheur n’est pas à vendre

Oui, cette affirmation peut sembler un peu cliché mais, en l’occurrence, elle renvoie à une certaine réalité. Dans cette société de surconsommation, pour reprendre les paroles d’Alain Souchon, « On nous inflige des désirs qui nous affligent ». Comprenons par là que toutes ces publicités, ces offres spéciales, ces campagnes de promotion nous donnent l’impression que sans les choses, sans le matériel, nous serions malheureux.

Or le bonheur ne tient que très peu à ce que l’on a. Oui, il faut pouvoir se chauffer, se nourrir, se vêtir… mais à toujours vouloir le plus moderne, le plus chic, le plus excitant, l’on en perd de vue notre être profond et subtil.

C’est en lui, en nous donc, que peut résider le vrai bonheur. À condition de savoir le trouver, le développer, puis le cultiver.

La pensée joue alors un rôle fondamental. La manière dont nous concevons ce qui nous entoure… et dont nous nous percevons influence grandement notre bien-être. Si vous n’avez jamais confiance en vous, que vous imaginez toujours le pire… le bonheur sera hors d’atteinte.

L’importance de l’instant présent

Nous n’aimerions pas donner l’impression de critiquer facilement et lâchement l’époque actuelle. Elle a aussi ses avantages ; et puisque c’est celle que nous vivons, il serait malsain de la rejeter totalement.

Cela dit, il faut admettre que la précipitation règne en maître depuis plusieurs décennies. Vouloir tout, tout de suite, régit bien des comportements. On pense alors à demain, après-demain : je veux obtenir ceci, je veux achever cela…

… jusqu’à en perdre la notion du présent.

Quand il n’y a plus que du futur, de l’après, le terrain se prépare pour l’angoisse. Car franchement, pourquoi vouloir se mettre autant de pression ? Sommes-nous vraiment forcé(e)s de tout anticiper, contrôler, prévoir ?

La réponse est évidemment non. Le fameux carpe diem (saisis l’instant) n’est pas qu’un mantra de calendriers. C’est une vraie philosophie, un état d’esprit, et donc une manière de penser qui peut vraiment conduire au bonheur.

La positivité attire la positivité… et ça n’a rien d’absurde

Vous avez sûrement déjà entendu quelqu’un vous dire : « Arrête de te plaindre, c’est le meilleur moyen pour qu’il t’arrive malheur ! ».

Il peut être difficile de comprendre le lien de cause à effet, et il existe pourtant.

De la pensée négative découle nécessairement des mauvaises énergies. L’effet « domino » peut s’enclencher très rapidement. Les cellules de votre corps, à la fois émettrices et réceptrices, vont mémoriser ce pessimisme. Et quand cela devient une (mauvaise) habitude, nous vous laissons imaginer l’état de votre champ énergétique.

Le plus sournois, c’est que cela peut impacter l’autre. Les autres.

Lorsque nos vibrations sont mauvaises, nous risquons de les faire « partager » à notre entourage. Si vos collègues, vos amis ou encore votre famille sont préparés à gérer ce genre de vibrations… ils s’en sortiront peut-être indemne. Sinon, cela peut constituer une vraie source de souffrance.

Vous vous demandez alors certainement comment s’extirper de la négativité, de l’angoisse… pour trouver son bonheur et surtout le garder.

Quand la vie retrouvée est synonyme de bonheur

Teckael est un guide spirituel. S’il a aujourd’hui trouvé la voie de sa plénitude, c’est parce qu’il s’est retrouvé dans une situation merveilleuse (ce sont ses termes) suite à un accident de moto.

Cette affirmation vous semble incohérente ? Et pourtant ! L’accident en question a marqué un tournant décisif dans sa vie terrestre. Justement parce qu’il a quitté cette dernière pendant quelques instants. Il a vécu ce qu’on appelle une NDE (Near Death Experience) ou EMI (Expérience de mort imminente).

Il en a tiré une prise de conscience exceptionnelle, réalisant, à travers le prisme d’un nouvel univers (celui qu’il a visité durant sa mort clinique donc), le potentiel de son être intérieur.

Cela fait écho à ce que nous expliquions un peu plus tôt. Sa « révélation » a changé le sens de sa vie, sa manière d’exister par rapport à lui et aux autres. La matérialité a laissé place à la spiritualité. Et il Teckael souhaite désormais transmettre ses connaissances à ce propos.

Vous pouvez en apprendre davantage via ce lien : c’est l’occasion d’apprécier une conférence gratuite donnée par cet homme généreux, ouvert, dont le discours s’avère aussi modeste que sincère.

En outre, ce guide spirituel donne des conférences à propos du bonheur et des méthodes qu’il a développées pour rééquilibrer ses énergies, apprécier le moment présent ; bref, se sentir toujours mieux dans son corps et dans son esprit.

Il est également question de vies antérieures ; ce qui est arrivé à Teckael lui a, en effet, permis d’élargir ses perspectives quant à la survivance de notre être intérieur et à son « historique », si on peut le dire ainsi.

Découvrez ces ateliers passionnants en cliquant ici. Le temps que vous allez y consacrer sera très largement compensé par les bienfaits apportés. Il est à noter que ce coach propos des consultations privées, ce qui permet d’approfondir véritablement son apprentissage de soi, des autres… et du bonheur, tout simplement !

 

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